jeudi 28 juin 2012

la chambre des morts de Frank Thilliez

Nombre de pages: 311
Auteur: Thilliez Franck
Editions: Le passage
Challenge: Prochaine lecture de sa Pal (choisie par Bookworm)

Mon avis:
Je découvre Thilliez dans le désordre! Bah oui tant qu'à faire autant le faire n'importe comment! 
L'histoire se passe dans le Nord, sinistré économiquement. Un accident mortel, un sac de billets, des meurtres... 
Pourquoi le Laïus sur le désordre? Parce que ce roman est le premier où l'on découvre le personnage de Lucie Hennebelle, et donc pour moi une redécouverte rétroactive( en cause la lecture du syndrome E et de Gataca). Et c'est étrange de la trouver à ses débuts, intelligentes mais peu confiante, manquant de sommeil et de compagnie! Elle me plaît comme petite bonne femme. Ce tome met bien en lumière sa part d'ombre. On sent beaucoup de non dits autour d'elle! J'ai bien aimé sa relation avec Normant! Comment ils fonctionnent, ils se cherchent, ils se respectent.
L'histoire en elle même est pleine de suspens. Quand on pense arriver à la fin on rebondit (d'accord on s'en rend vite compte vu l'épaisseur du livre qui reste!)! Jusqu'à l'épilogue qui comme le cadeau bonux nous réserve un dernier sursaut, une dernière histoire, la réponse à une dernière énigme que je ne mettais même pas posée!
Tellement de choses à dire mais qui briseraient le travail d'écriture. Les suspects s'accumulent mais pas forcément pour les mêmes crimes. A la fin j'étais complètement paranoïaque et aurait bien suspecté les jumelles,(là j'exagère un peu!).  En tout cas Thilliez mets bien en valeur la nature humaine. Le terme est vraiment pas heureux car c'est plutôt une valeur négative ici. Il y a quand même quelques lueurs d'espoir dans ce triste monde!


En résumé: Une histoire passionnante qui m'a bien mené en bateau!

4ème de couverture:
Imaginez… Vous roulez en pleine nuit avec votre meilleur ami, tous feux éteints. Devant vous, un champ d’éoliennes désert. Soudain le choc, d’une violence inouïe. Un corps gît près de votre véhicule. À ses côtés, un sac de sport. Dedans, deux millions d’euros, à portée de la main. Que feriez-vous ? Vigo et Sylvain, eux, ont choisi. L’amitié a parfois le goût du sang : désormais le pire de leur cauchemar a un nom… La Bête.

1 commentaire:

  1. Je suis vraiment contente qu'il t'ait plu. J'avais vu le film sans savoir qu'il s'agissait d'une adaptation et je l'avais beaucoup aimé.

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