Nombre de pages : 284
Auteur : Jay Asher
Edition: Albin Michel
Emprunt Bibliothèque
Challenge
Mon avis:
Jay Asher nous parle du suicide d'une jeune adolescente. L'acte a déjà eu lieu . Nous le découvrons par le biais de Clay Jensen, jeune homme élève dans le même établissement que la jeune fille. Un matin il reçoit des cassettes audio où Hannah va interpeller certains de ses camarades. Elle y explique les raisons de son mal être et le passage à l'acte.
Le suicide n'est pas un sujet facile. Il touche à nos angoisses. Pour ma part j'ai toujours eu du mal à le comprendre. Le voyant comme un acte impulsif de quelques secondes aux effets définitifs. Ce roman a remis en cause mes certitudes. C'est à ça que servent les livres.
Ici la fin est connue et l'on sait que chaque acte évoquée est une cause de cette fin. On a l'impression d'un bolide lancé dans une descente. Vous voulez l'arrêter mais toute tentative est vaine.
Les évènements s'accumulent les uns après les autres, pris individuellement ils auraient peut être été surmontables mais mis bout à bout ils ont miné le mental d'Hannah.
Hannah, personnage principal, est une fille banale mais à la sensibilité à fleur de peau. Elle arrive dans une nouvelle ville avec l'espérance de recommencer à zéro. Mais le monde adolescent est une jungle, et les créatures qui l'habitent sont loin d'être toutes sympathiques. Même si tout le long du roman j'ai eut envie de la prendre contre moi, de la consoler, de la protéger, j'étais aussi en colère. En colère contre elle, contre ses camarades, ses parents, les enseignants, ... Et pourtant dans leur cas je ne pense pas que j'aurais vu, du coup j'étais aussi en colère contre moi.
Clay Jensen, celui qui écoute les cassettes, paraît être un gentil garçon. On ne cesse de se demander pourquoi il a reçu ces cassettes. Il se pose lui aussi la question.
Le roman est partagé entre le récit de Hannah et les réflexions qu'il entraîne dans l'esprit de Clay. Du coup il est très facile d'accès. Clay fait écho à nos propres réflexions.
En résumé: un très bon roman sur le suicide qui permets de sensibiliser et d'ouvrir les yeux sur un sujet que l'on cherche à ignorer.
4ème de couverture:
Clay Jensen reçoit sept cassettes enregistrées par Hannah Baker avant qu'elle ne se suicide. Elle y parle de treize personnes qui ont, de près ou de loin, influé sur son geste. Et Clay en fait partie. D'abord effrayé, Clay écoute la jeune fille en se promenant au son de sa voix dans la ville endormie. Puis il découvre une Hannah inattendue qui lui dit à l'oreille que la vie est dans les détails. Une phrase, un sourire, une méchanceté ou un baiser et tout peut basculer...
Jay Asher nous parle du suicide d'une jeune adolescente. L'acte a déjà eu lieu . Nous le découvrons par le biais de Clay Jensen, jeune homme élève dans le même établissement que la jeune fille. Un matin il reçoit des cassettes audio où Hannah va interpeller certains de ses camarades. Elle y explique les raisons de son mal être et le passage à l'acte.
Le suicide n'est pas un sujet facile. Il touche à nos angoisses. Pour ma part j'ai toujours eu du mal à le comprendre. Le voyant comme un acte impulsif de quelques secondes aux effets définitifs. Ce roman a remis en cause mes certitudes. C'est à ça que servent les livres.
Ici la fin est connue et l'on sait que chaque acte évoquée est une cause de cette fin. On a l'impression d'un bolide lancé dans une descente. Vous voulez l'arrêter mais toute tentative est vaine.
Les évènements s'accumulent les uns après les autres, pris individuellement ils auraient peut être été surmontables mais mis bout à bout ils ont miné le mental d'Hannah.
Hannah, personnage principal, est une fille banale mais à la sensibilité à fleur de peau. Elle arrive dans une nouvelle ville avec l'espérance de recommencer à zéro. Mais le monde adolescent est une jungle, et les créatures qui l'habitent sont loin d'être toutes sympathiques. Même si tout le long du roman j'ai eut envie de la prendre contre moi, de la consoler, de la protéger, j'étais aussi en colère. En colère contre elle, contre ses camarades, ses parents, les enseignants, ... Et pourtant dans leur cas je ne pense pas que j'aurais vu, du coup j'étais aussi en colère contre moi.
Clay Jensen, celui qui écoute les cassettes, paraît être un gentil garçon. On ne cesse de se demander pourquoi il a reçu ces cassettes. Il se pose lui aussi la question.
Le roman est partagé entre le récit de Hannah et les réflexions qu'il entraîne dans l'esprit de Clay. Du coup il est très facile d'accès. Clay fait écho à nos propres réflexions.
En résumé: un très bon roman sur le suicide qui permets de sensibiliser et d'ouvrir les yeux sur un sujet que l'on cherche à ignorer.
4ème de couverture:
Clay Jensen reçoit sept cassettes enregistrées par Hannah Baker avant qu'elle ne se suicide. Elle y parle de treize personnes qui ont, de près ou de loin, influé sur son geste. Et Clay en fait partie. D'abord effrayé, Clay écoute la jeune fille en se promenant au son de sa voix dans la ville endormie. Puis il découvre une Hannah inattendue qui lui dit à l'oreille que la vie est dans les détails. Une phrase, un sourire, une méchanceté ou un baiser et tout peut basculer...
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