Nombre de pages : 553 pages
Auteur : Tolstoï Léon
Edition: GF Flammarion
Emprunt Bibliothèque
Challenge:
Mon avis:
L'auteur nous parle ici d'Anna Karénine mais pas que ... En effet tout commence avec l'infidélité découverte de son frère pour finir avec la fuite avec son amant, qui a éconduit la jeune Kittie, Belle-soeur de son frère. Cela vous paraît compliqué? Ça ne l'est pas quand on comprends que même si le roman porte le nom d'une héroïne, il n'est pas uniquement centré sur elle. Il s'agit d'un premier tome je ne peux donc pas augurer de la suite. Par le biais de ses personnages Tolstoï nous présente une société russe complexe et hiérarchisée. Il s'agit ici de mariages de convenances qui consentis sans amour finissent mal. Anna Karénine sacrifie tout à son amant Vronski. Elle sait qu'elle met en jeu sa position, son honneur.
A l'inverse , Lévine, propriétaire terrien, désirent épouser Kittie Alexandrovna par amour; Hélas il sera éconduit en faveur du Comte Vronski. Hélas celui-ci tombe sous le charme de Anna Karénine et abandonne Moscou et la pauvre Kittie pour Petersbourg.
Le style de Tolstoï n'est pas forcement des plus accessibles mais l'histoire est vraiment intéressante. Elle laisse une grande place à la passion. A ma plus grande honte je dois avouer que j'ai du mal avec les noms russes ce qui a rendu ma lecture un laborieuse.
En résumé : Je lirais le tome 2 car je brûle de savoir comme cela se finira.
4ème couverture:
La quête d'absolu s'accorde mal aux convenances hypocrites en vigueur dans la haute société pétersbourgeoise de cette fin du XIXe siècle. Anna Karénine en fera la douloureuse expérience. Elle qui ne sait ni mentir ni tricher - l'antithèse d'une Bovary - ne peut ressentir qu'un profond mépris pour ceux qui condamnent au nom de la morale sa passion adultère. Et en premier lieu son mari, l'incarnation parfaite du monde auquel il appartient, lui plus soucieux des apparences que véritablement peiné par la trahison d'Anna. Le drame de cette femme intelligente, sensible et séduisante n'est pas d'avoir succombé à la passion dévorante que lui inspire le comte Vronski, mais de lui avoir tout sacrifié, elle, sa vie de femme, sa vie de mère. Vronski, finalement lassé, retrouvera les plaisirs de la vie mondaine. Dans son insondable solitude, Anna, qui ne peut paraître à ses côtés, aura pour seule arme l'humiliante jalousie pour faire vivre les derniers souffles d'un amour en perdition. Mais sa quête est vaine, c'est une "femme perdue".
L'auteur nous parle ici d'Anna Karénine mais pas que ... En effet tout commence avec l'infidélité découverte de son frère pour finir avec la fuite avec son amant, qui a éconduit la jeune Kittie, Belle-soeur de son frère. Cela vous paraît compliqué? Ça ne l'est pas quand on comprends que même si le roman porte le nom d'une héroïne, il n'est pas uniquement centré sur elle. Il s'agit d'un premier tome je ne peux donc pas augurer de la suite. Par le biais de ses personnages Tolstoï nous présente une société russe complexe et hiérarchisée. Il s'agit ici de mariages de convenances qui consentis sans amour finissent mal. Anna Karénine sacrifie tout à son amant Vronski. Elle sait qu'elle met en jeu sa position, son honneur.
A l'inverse , Lévine, propriétaire terrien, désirent épouser Kittie Alexandrovna par amour; Hélas il sera éconduit en faveur du Comte Vronski. Hélas celui-ci tombe sous le charme de Anna Karénine et abandonne Moscou et la pauvre Kittie pour Petersbourg.
Le style de Tolstoï n'est pas forcement des plus accessibles mais l'histoire est vraiment intéressante. Elle laisse une grande place à la passion. A ma plus grande honte je dois avouer que j'ai du mal avec les noms russes ce qui a rendu ma lecture un laborieuse.
En résumé : Je lirais le tome 2 car je brûle de savoir comme cela se finira.
4ème couverture:
La quête d'absolu s'accorde mal aux convenances hypocrites en vigueur dans la haute société pétersbourgeoise de cette fin du XIXe siècle. Anna Karénine en fera la douloureuse expérience. Elle qui ne sait ni mentir ni tricher - l'antithèse d'une Bovary - ne peut ressentir qu'un profond mépris pour ceux qui condamnent au nom de la morale sa passion adultère. Et en premier lieu son mari, l'incarnation parfaite du monde auquel il appartient, lui plus soucieux des apparences que véritablement peiné par la trahison d'Anna. Le drame de cette femme intelligente, sensible et séduisante n'est pas d'avoir succombé à la passion dévorante que lui inspire le comte Vronski, mais de lui avoir tout sacrifié, elle, sa vie de femme, sa vie de mère. Vronski, finalement lassé, retrouvera les plaisirs de la vie mondaine. Dans son insondable solitude, Anna, qui ne peut paraître à ses côtés, aura pour seule arme l'humiliante jalousie pour faire vivre les derniers souffles d'un amour en perdition. Mais sa quête est vaine, c'est une "femme perdue".
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