363 pages
4ème de couverture :
Armé de ses dix-neuf ans et de ses idées généreuses, Maxime de Beaumont arrive à Versailles où la Révolution l'attend. Elle l'enthousiasme, l'enflamme, l'emporte à Paris, le roule d'un événement à l'autre. Ce torrent le perdrait si la rencontre de l'amour n'en changeait le sens. Amandine partage et affermit son existence, devient sa raison d'être, son destin. La guerre civile les épargne, mais, engagé volontaire dans l'armée républicaine, il est gravement blessé. Amandine l'aide à accepter, puis à dominer son infirmité : il apprend à écrire de la main gauche, en découvre le mystère. Ces révélations et ces épreuves pourraient l'écarter de la société s'il ne prenait conscience de sa fille Hermine. Dépositaire d'un bonheur étrange, aura-t-il le pouvoir et le droit de se tenir à l'abri du monde ?
Mon avis :
Ce livre se situe entre la fresque historique et la romance.
Les deux histoires (la Grande et la petite) se mêlent sans que l'on sache vraiment laquelle est la plus intéressante.
Il s'agit d'un livre à la première personne. On découvre les événements à travers les yeux de Maxime de Beaumont. Sa vision de l'Histoire est celle d'un témoin, d'un participant de la révolution. Point de vue d'autant plus précieux que j'ai lu il y a peu la princesse effacée d'Alexandra de Broca. Dans ce récit le point de vue était celui de la famille royale.
Maxime en arrivant à Versailles est amoureux de la révolution. En tant que jeune noble de province bercé par les idées d'un précepteur influencé par l'esprit des lumières, il veut participer aux chamboulements de l'époque. Dans un premier temps il y voit la possibilité d'une nouvelle société plus juste, plus fraternelle. Il rencontre Amandine au tout début, il s'agit d'une passion un peu tumultueuse. D'Amandine on ne sera pas grand chose, elle reste mystérieuse tout au long du récit. Sa force de caractère, sa façon d'appréhender la vie, les épreuves en font un personnage fort et sans doute ce qui a permis à Maxime de Beaumont de surmonter les déceptions liées aux dérives des hommes.
Ce livre donne envie de reprendre les vieux manuels d'histoire pour se frotter à cette période.
4ème de couverture :
Armé de ses dix-neuf ans et de ses idées généreuses, Maxime de Beaumont arrive à Versailles où la Révolution l'attend. Elle l'enthousiasme, l'enflamme, l'emporte à Paris, le roule d'un événement à l'autre. Ce torrent le perdrait si la rencontre de l'amour n'en changeait le sens. Amandine partage et affermit son existence, devient sa raison d'être, son destin. La guerre civile les épargne, mais, engagé volontaire dans l'armée républicaine, il est gravement blessé. Amandine l'aide à accepter, puis à dominer son infirmité : il apprend à écrire de la main gauche, en découvre le mystère. Ces révélations et ces épreuves pourraient l'écarter de la société s'il ne prenait conscience de sa fille Hermine. Dépositaire d'un bonheur étrange, aura-t-il le pouvoir et le droit de se tenir à l'abri du monde ?
Mon avis :
Ce livre se situe entre la fresque historique et la romance.
Les deux histoires (la Grande et la petite) se mêlent sans que l'on sache vraiment laquelle est la plus intéressante.
Il s'agit d'un livre à la première personne. On découvre les événements à travers les yeux de Maxime de Beaumont. Sa vision de l'Histoire est celle d'un témoin, d'un participant de la révolution. Point de vue d'autant plus précieux que j'ai lu il y a peu la princesse effacée d'Alexandra de Broca. Dans ce récit le point de vue était celui de la famille royale.
Maxime en arrivant à Versailles est amoureux de la révolution. En tant que jeune noble de province bercé par les idées d'un précepteur influencé par l'esprit des lumières, il veut participer aux chamboulements de l'époque. Dans un premier temps il y voit la possibilité d'une nouvelle société plus juste, plus fraternelle. Il rencontre Amandine au tout début, il s'agit d'une passion un peu tumultueuse. D'Amandine on ne sera pas grand chose, elle reste mystérieuse tout au long du récit. Sa force de caractère, sa façon d'appréhender la vie, les épreuves en font un personnage fort et sans doute ce qui a permis à Maxime de Beaumont de surmonter les déceptions liées aux dérives des hommes.
Ce livre donne envie de reprendre les vieux manuels d'histoire pour se frotter à cette période.
Ah un peu d'histoire ! ça manquait jusqu'à présent !
RépondreSupprimerMERCI :)