335 pages
4ème de couverture:
Debout à la fenêtre de son bureau, Richard Pincent profitait distraitement de sa vue panoramique sur Londres, symbole de son pouvoir et de sa réussite. Il se sentait fatigué, malade ... et inquiet. Il entendait encore résonner en boucle les propos confus d'Albert à propos du "cercle de la vie". Le cercle de la vie? Comment fallait-il comprendre ces mots?Anna et Peter, les deux héros de la Déclaration et de la Résistance, coulent des jours tranquilles en Ecosse avec leur fille Molly.
Pendant ce temps, à Londres, un évènement affole la puissante société Pincent Pharma, qui commercialise les pillules de Longévité : une étrange épidémie provoque la mort subite de centaines, puis de milliers d'individus. D'abord étouffées par les Autorités, ces disparitions multiples finissent par alerter la population. Pincent pharma fait alors croire qu'il s'agit d'un attentat de la résistance, qui aurait empoisonné des lots de pillules, et les Autorités arrêtent Paul, le leader des Résistants.Le combat pour la perpétuation du règne de longévité ou pour sa chute commence ...
Mon avis :
J'ai trouvé le début du récit déroutant avec ce Flashback. La relation entre Fern et Pincent n'avait pas été évoquée dans les deux premiers et du coup on découvre beaucoup de choses en quelques lignes.Même si la fin est prévisible parce que souhaitée, le récit ne manque pas de suspens. L'auteur arrive à mettre de l'inédit tout au long. Le rythme est soutenu. Chaque personnage particiê à la grande Histoire mais doit aussi résoudre des questions existentielles sur ce qu'il est et pourquoi il agit.
On en apprend plus sur Paul. Et j'avoue que j'ai mis du temps à découvrir la vérité. (En fait je ne l'ai pas découverte puisqu'il a fallu que je la lise !!!).La fin de ce roman m'a rappelé Ravage de Barjavel. Je ne dirais pas pourquoi, puisque le dire c'est déjà trop en écrire.
Cette trilogie en tout cas fait réfléchir. Pour ma part je n'ai jamais été une acharnée de la jeunesse. J'aime veillir et avoir les privilèges et les inconvénients qui vont avec. Il est vrai que sur l'echelle de certain je suis encore jeune et que mon discours ne sera peut être pas le même lorsque la mort frappera à ma porte. Mais cette société vivant sur les cadavres de ses enfants ne me fait pas envie. Et quand je dis vivre j'aurais plutôt du écrire survivre.En espérant que ces romans restent classés en sciences fictions et non en anticipation.
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